Mémoire St-Pomponnaise (photos anciennes des St -Pomponnais)
La première photographie noir et blanc a été prise et développée par Joseph Nicéphore Nièpce en 1826. Cette photographie représente une silhouette de femme se tenant à côté d'une aile de sa propriété en Saône et Loire. Le développement de cette photographie a été fait sur une plaque d'étain de 20 x 16,5 cm à l'aide de bitume de judée (mélange d'hydrocarbures). Pour prendre cette photo, il a fallu un temps de pause de plusieurs heures, d'où l'éclairage étrange de cette photo (plusieurs murs opposés sont éclairés).
La première photographie couleur apparue à l'académie des Sciences de Paris en 1869 puis le procédé a été amélioré début 1900 par les frères Louis et Auguste Lumière.
Famille Simon
C'était dans les années 1930
Albert Simon et son épouse Lucie Dauriat
Photos et texte de Daniel Combret
"Mes grands-parents habitaient "la barrière" sur la route du haut,
(la maison, en photo, maintenant propriété de M. Conchou).
Au départ c'était la propriété des parents de ma grand-mère (Dauriat). Initialement la maison était en face de l'actuelle
(construite par mon grand-père en 1928).
Ma mère est d'ailleurs née dans la maison originelle
qui a été transformée après 1928 en étable, grange et fenil.
Cette bâtisse ancienne a été rasée aux alentours des années 1980.
Mes grands-parents étaient paysans polyculteurs.
Mon grand-père cultivait surtout du blé et du tabac.
Il était aussi vigneron et son vin était bien apprécié dans le village
(l'ancêtre du "vin de Domme"!!).
D'ailleurs sous la maison, il y avait la cave, avec ses barriques bien alignées,
et la grande cuve, dans laquelle on versait la vendange depuis la cuisine par une trappe dans le plancher (qui existe peut-être encore?).
Il y avait une vigne aux "Paures" et une autre aux "Garrigues",
chacune avec sa cabane. (en photo, la cabane des Paures ;
ça doit appartenir maintenant à la famille Bois, de Naudet ?)
Et puis mon grand-père était aussi maçon avec son compère Brouat (construction de sa maison, Léovil...).
Ma grand-mère cultivait un grand potager
(à gauche du séchoir à tabac en montant)
et s'occupait des animaux : poules, lapins, oies (puis canards) et un cochon.
Il y a eu aussi un cheval de trait ("Pompon"!) et une paire de bœufs.
Mon grand-père était originaire de Journiac à côté du Bugue ;
et curieusement ils ont été plusieurs hommes originaires
de cette commune (et certainement amis)
à rejoindre Saint-Pompon vers 1910,
comme Lastouillas, Leyssales...
Quant à savoir ce qui les a attirés dans ce village...?
Il y avait bien l'usine d'ocre au dessus du cimetière ;
mais je sais que mon grand-père n'y a jamais travaillé."
la partie à gauche de la maison était l'ancien séchoir à tabac
La cabane des Paures sur la route de La Bélaudie
Photos appartenant à Daniel Combret
C'était en 1926,
cette photo a été prise sur l'escalier
de la maison à La Barrière.
1) Gilberte Simon
2) Suzon Buffard
3) Fernand Buffard (maire de Saint-Pompon de 1937 à 1971)
4) Paulette Bargues
5) Claire Leyssalles Lagreze
Famille Delair
C'était en 1954, au milieu Sidonie Graves et son époux Charles Delair
avec une amie et sa fille.
C'était un dimanche de 1947, devant la maison familiale.
Colette, Francis, Marie Josette Delair et le chien Walter.
La pharmacie de saint-Pompon en 1952,
De gauche à droite,
Colette Delair, la petite-fille de la compagne du pharmacien,
Marie-Josette Delair et Etienne Candenot, le pharmacien.
C'était en 1955 (photo de gauche) et 1957 (photo de droite),
à l'époque, il n'y avait pas la fameuse Pomponnaise mais des sportifs comme
Francis et René Deuscher (à droite ).
C'était en 1956, deux jeunes Saint-Pomponnais en ville.
Francis (à gauche) avec son ami Antoine Oldrati.
C'était en 1964, Franck Delair (le fils de Francis et Micheline)
sur le côté de la pharmacie, en montant au lieu-dit "le Maine".
C'était en 1983,
Micheline Delair épouse de Francis et Sylvette Claud (à droite sur les photos)
préparant les couronnes pour le mai de Monsieur Ente et le mai communal.
Photos appartenant à Micheline et Francis Delair.
C'était le 15 septembre 2007,
la joie des retrouvailles, après de nombreuses années, entre
Francis Delair et Charles Maisonneuve (amis d'enfance).
Beaucoup d'émotion pour tous les deux.
Photo appartenant à Charles Maisonneuve.
Famille Maisonneuve
C'était en 1935,
Jean Marcellin Maisonneuve et son épouse Marie Maury
du lieu-dit "Lascombe".
En 1908, Emile Théodore Maisonneuve à l'âge de 17 ans, fils de Marcellin et Marie.
Emile Maisonneuve (14 juillet 1891–4 octobre 1952)
surnommé Théodore et appelé Théo par ses proches,
a connu une décennie d’une aventure peu commune.
Reçu à Tours lors de la Saint-Eloi 1910 (photo ci-dessus),
il devient « Périgord, l’Amour du Travail » :
il commence ainsi son tour de France du compagnonnage comme maréchal-ferrant.
Sur cette photo prise devant l’hôtel des ducs de Touraine,
Théo apparaît dans le blanc de la bannière,
les compagnons du premier tenant la canne, un des insignes du compagnonnage.
Son fils, Charles a conservé la canne du compagnon Périgord,
dont voici le pommeau chargé de symboles.
Soldat en 1912, le 50e Régiment d’Infanterie de Périgueux l’utilise comme maréchal-ferrant et,
il le restera pendant toute la durée d’une guerre qui le conduira de la Marne à Istanbul (Turquie) en passant par la Macédoine.
Démobilisé, il deviendra maréchal-ferrant à Monclar d’Agenais (Lot-et-Garonne).
En 1916, sur le front d’orient, Théo, deuxième à partir de la gauche, se fait photographier tenant un carnet à la main.
Il montre ainsi qu’il est un compagnon du Devoir consacrant son temps à l’étude, complément indispensable au travail manuel,
le tout devant lui permettre de maîtriser son métier à la perfection.
En 1937, le petit Charles avec ses parents
Emile Théodore et Lucie Maisonneuve
devant la maison de ses grands-parents à Lascombe.
La maison familiale de Lascombe en 1952.
En 1937, Charles Maisonneuve avec ses amis d'enfance.
Charles (à gauche) avec Robert et Marie-Thérèse Boyer.
Charles Maisonneuve en 1962
Clic gauche sur les photos pour les agrandir.
Photos appartenant à Charles Maisonneuve.
Famille Dauriat
C'était en 2002, Aimée Dauriat avec ses trois enfants, Reine, Jean-Claude
et Jean-Paul dit "Popo".
C'était en 1969, Jean-Claude Dauriat, lors de la quille (fin du service militaire).
Photos appartenant à Maryse Soulier.
C'était le 11 août 2007, les 90 ans d'Aimée Dauriat,
avec ses enfants : Jean-Paul, Reine et Jean-Claude
ses petits-enfants : Delphine et Fabrice
ses arrières petits-enfants : Anaëlle et Léa.
C'était en 2014, Jean-Claude Dauriat et sa petite fille Louise.
Photos appartenant à Jean-Paul Dauriat
Famille DELAIR
Madeleine Delair est née le 15 mars 1920 à Aigrefeuille-le-Thou en Charente-Maritime,
elle est la fille de Marthe Favel épouse Delair et de Justin Delair.
Cette photo a été prise en 1937 à Sarlat, à l'occasion de la fête de Saint-Pompon où elle a été élue
Miss Saint-Pompon, Jeanine Malange était la dauphine.
Le concours de Miss Saint-Pompon a été organisé par le maire de l'époque, Fernand Buffard.
Madeleine a toujours gardé un très bon souvenir de cette journée
où les jeunes du village se sont promenés en charrettes dans le village.
Emile Delair frère de Madeleinre, fils de Marthe Favel épouse Delair et de Justin Delair
est mort en juillet 1918 dans son char à la Bataille de la Marne, pour être plus précis près de Soissons.
Son nom est gravé sur le monument aux morts de Saint-Pompon.
Photos appartenant à Dany Delair Esposito.
Famille Buffard
En 1914, Léopold Buffard, cordonnier à Saint-Pompon,
père de Fernand Buffard, maire de Saint-Pompon de 1937 à 1971.
En 1925, de gauche à droite :
X, X, X, Paulette Buffard, Pauline, X, Fernand Buffard, Suzanne Buffard.
En 1950, Emile Crémon et Fernand Buffard (à droite) sur la place de Saint-Pompon.
En 1953, André Buffard et son père Léopold Buffard.
Photos appartenant à Andrée Buffard Bost
Famille Fournier
Photo appartenant à Marie-Hélène Varnier Fournier
C'était en 1964, le baptême de Marie-Hélène et Philippe Fournier
avec de gauche à droite : Martin Brousse, Denise Brousse avec dans ses bras Philippe, Christiane Dabernard avec dans ses bras Marie-Hélène, Germaine Fournier Brousse, André Fournier et Guy Fournier dit Titouille.
Famille Grangier
Paul GRANGIER et son épouse Hélène IRAGNE vers 1910
(les parents de Maxime GRANGIER )
Paul GRANGIER pendant la guerre de 1914-1918.
Vers 1926, Maxime GRANGIER, le petit garçon au milieu avec un chapeau, entouré de sa famille.
Vers 1955, les parents de Maxime GRANGIER avec un ami (au milieu).
Maxime en 1918 Maxime en 1923
Le 11 septembre 1932, première fête des fleurs à Saint-Pompon avec Maxime GRANGIER
(le plus grand au milieu de la photo).
Maxime GRANGIER en 1935. Maxime et Lucienne GRANGIER se promenant à Sarlatlors du marché hebdomadaire du samedi en 1948.
C'était le 26 mai 1984 lors d'un repas des anciens cavaliers
du 1er régiment de Hussards à cheval à Villegouge en Gironde.
Photos appartenant à Lucienne GRANGIER
Famille Carbonnier
Photo prise en 1933 au lieu-dit "Poncet"
Assis sur la charrette Jean CARBONNIER (père de Gérard CARBONNIER) avec son grand-père Guillaume CARBONNIER
et
ses deux cousins Henri et Roger CASSAN.
La récolte de tabac en 1958, La famille Carbonnier du lieu-dit "Poncet" et le tracteur de marque PONY.
Gérard est le petit garçon sur le tracteur.
Gérard et Francine Carbonnier devant la peugeot 203 familiale de leurs parents en 1961.
C'était en 1956, Maryse Malvy la future épouse de Gérard Carbonnier.
André Richard
André RICHARD nous a quitté le 25 mars 2013, une figure de Saint-Pompon disparaît.
C'était un homme très gentil avec beaucoup de délicatesse et de savoir vivre.
Photo prise en août 2008.
Joseph Labrot du lieu-dit "la Borgne" dans les années 1980
Pendant la dernière guerre mondiale entre 1943 1944, Joseph était prisonnier dans un camp en Allemagne. Un jour, afin de punir certains prisonniers, les militaires allemands firent monter des récalcitrants dans un camoin pour les conduire en forêt afin de leur faire couper du bois. Nous viendrons vous rechercher ce soir lança un allemand. Super se disent les détenus, on ne coupera pas de bois. Mais comme il faisait très froid, ils se sont vite mis à débiter les arbres.
A - 35°, toute la journée dehors et pas très bien couvert, le froid brula les oreilles de notre Joseph. C'est pourquoi il lui manquait le tour des oreilles et plus particulièrement le bas de l'une d'elles.
A son retour de la guerre, il travaillera à l'usine des ocres de Saint-Pompon puis comme ouvrier agricole dans plusieurs exploitation agricole. Il est décédé en 1985 à l'âge de 84 ans.
Photo appartenant à Maryvonne MALANDAIN
Famille Souletis
En 1979, Marcel SOULETIS, avec son arrière petite fille,
ancien propriétaire du bar "Chez Bruno".
En 1979, Madeleine SOULETIS, avec son arrière petite fille,
ancienne propriétaire du bar "Chez Bruno".
En 1969, à gauche, Madeleine SOULETIS avec ses deux enfants Gisèle et Christian.
Aux alentours de 1926, mes grands-parents sont arrivés à Saint-Pompon
Mon grand-père Marcel était de de Beynac et ma grand-mère Madeleine de Vezac.
A l'époque le restaurant actuellement "Chez Bruno" était scindé en 2 parties,
le coté qui donne sur la ruelle (coté Boulangerie ) était un café : "Le Café de Bordeaux" tenu par Monsieur Allayrac Maurice et l'autre côté (la ruelle prés de la boucherie) était une épicerie, tenue par mes grands-parents (1926).
En 1946, mes grands-parents ont ouvert café, restaurant et même hôtel (2 chambres) et l'épicerie.
Monsieur Allayrac Maurice est parti s'installé au "Moulin de Goudou".
Mes grands-parents, Madeleine et Marcel sont restés jusqu'en 1982 (mais avaient arrêté leurs activités quelques années auparavant).
En 1986 les héritiers (mon père et ma tante) ont vendu l'ensemble à Monsieur Allayrac.
Récit et photos Monique SOULETIS
Le Monument aux morts
Monument aux morts construit en 1924
Monsieur Jean LEBRALY, alors Maire de Saint-Pompon, régla personnellement les dépenses de la réalisation du Monument aux morts.
Photo appartenant à Richard ANDRE
Inauguration du Monument aux morts, le 22 novembre 1925
Le monument aux morts a été inauguré le 22 novembre 1925, par Monsieur le Ministre de l'éducation nationale Yvon DELBOS.
Photo appartenant à Nicole ARMAGNAC ALONSO
Famille PRUNIS
C'était vers 1937.
De gauche à droite : Rose TERRAL (maman de Roger TERRAL di lieu-dit "Roumegouse"),
Emilienne et Odette LAVERGNE.
Le grand-père est Monsieur RAUZET du lieu-dit "Monroudier"
(père de Rose Terral et grand-père d'Emilienne et Odette LAVERGNE)
C'était en 1943.
Marguerite DELGUEL épouse Robert PRUNIS
avec ses deux enfants Michel et Bernadette
du lieu-dit "le Maine".
Photos appartenant à Bernadette PRUNIS AUDIT