Un peu d'histoire
L'histoire de Saint-Pompon d'après Jean TABANOU.
Jean Tabanou
JEAN TABANOU
Petite présentation pour ceux qui ne me connaissent pas.
De 1950 à 1971, j'ai habité à Saint-Pompon avec mes parents,
dans le logement de fonction qu'ils occupaient à l'école
en tant qu'instituteurs.
J'ai commencé mes recherches sur l'histoire du village quand j'avais 16 ans.
J'ai publié une première fois le résultat de ces recherches en 1973.
Seconde édition, plus complète, en 1997.
Depuis que je suis à la retraite, j'essaie de trouver toutes les archives existantes sur Saint-Pompon. La bonne nouvelle c'est qu'il y en a beaucoup plus que je pensais. La mauvaise : leur recherche et leur étude demandent énormément de temps.
J'espère tout de même terminer un (gros) livre en 2024, de façon qu'il soit imprimé avant Noël. Vous serez bien sûr avertis de sa sortie.
Pour contacter Jean Tabanou directement : histoirestpompon@orange.fr
Saint-Pompon, vous l'écrivez comment ?
UN PEU D'HISTOIRE
et Saint-Pompon, vous l'écrivez comment ?
Saint-Pompon était déjà connu sous ce nom au 13ème siècle où il fut mentionné en latin (Sanctus Pomponius) dans le testament d'un seigneur local. Saint Pomponius aurait été évêque de Naples pendant 28 ans.
Sous le règne de l'empereur Justin* et sous le pontificat des papes Hormidas*, Félix*, il défendit énergiquement la foi catholique contre l'hérésie arienne. Il construisit à Naples en l'honneur de la vierge la basilique Sainte Marie Majeure où il fut enterré.
Après sa mort il se produisit de nombreux miracles (entre autres : un liquide merveilleux sortait de son corps).
Ce saint étant très méconnu, on prit longtemps comme saint patron Saint Jean Baptiste.
On trouve Saint Pompon écrit de multiples façons dans les archives : Sen Pomponch, Sanctus Pomponius (1269), S. Pompoing (16ème siècle), S Plaimpon (sur la carte de France de Cassini, fin du 18ème siècle), mais jamais avec un "t" !..
Ce n'est qu'en cette 2ème moitié du 20ème siècle que certains organismes officiels et non des moindres (l'I.G.N., l'I.N.S.E.E., la D.D.A. ...) ajoutèrent un "t" au nom du village, chaque fontionnaire répétant l'erreur de ses collègues !
Pourtant les habitants sont des Saint-Pomponnais et non des Saint-Pompontais, Pompont(a)ins.
Il était pourtant simple de se référer au cadastre, à la D.D.E., ou à la mairie de la commune. Peut-être faut-il agrandir les panneaux de signalisation aux entrées et sorties du village ??
* Justin Ier : empereur d'Orient de 518 à 527
* Saint Hormidas fut pape de 514 à 523
* Félix IV fut pape de 526 à 530
* Boniface II fut pape de 530 à 532
Extrait de : HISTOIRE DE SAINT-POMPON par Jean TABANOU (1997)
Un Saint-Pomponnais connaissait le secret pour guérir de la rage
"Avant que Pasteur ne découvre le vaccin contre la rage,
un homme de Saint-Pompon traitait cette maladie.
On recourrait à ses soins depuis Cahors et Villeneuve-sur-Lot.
Malgré les fortes sommes qui lui furent offertes,
il refusa de transmettre sa formule à l'académie
et disparut avec son secret ..."
Extrait du livre :
Mémoires en Images Sarlat et le Périgord noir
d'Annie-Paule et Christian FELIX.
Loup
En 1816, il y avait des loups à Saint-Pompon.
On les tuait avec de la noix vomique (fruit contenant de la strychnine, et provenant d'un abrisseau : le vomiquier) que l'on trouvait chez le pharmacien.
Le vomiquier
Arbre de l'Inde, toxique par son écorce (fausse angusture) et par son fruit (noix vomique), qui contiennent de la strychnine et de la brucine. (famille des logoniacées).
Les Grilloux
J'ai cru longtemps que le site saint pomponnais des Grilloux datait de la préhistoire. Les vestiges des Grilloux surprennent par la taille des blocs mis en oeuvre, et ne ressemblent ni aux "bories" construites par les bergers ou cultivateurs de la région depuis des milliers d'années ni aux ouvrages romains connus. D'où l'hypothèse d'un site plus ancien !
On peut y voir un mur de soutènement long d'environ 100 mètres et les ruines d'un bâtiment construit lui aussi avec d'énormes blocs calcaires.
Les archéologues ont maintenant très bien compris (et expérimenté eux-mêmes) la mise en place de murs cyclopéens. Sur le site des Grilloux, la manutention des blocs calcaires était facilitée par la topographie du lieu : les pierres probablement extraites plus haut sur le coteau pouvaient être acheminées en profitant de la pente du terrain. L'utilisation de rondins de bois, de cordages végétaux, de la traction animale et/ou humaine, était bien maîtrisée, sans souci de temps ni de rendement ...
Les données les plus récentes fournies par les géologues nous prouvent que ces ruines sont "récentes" : en effet, le calcaire de type kimmeridgien utilisé ici résiste pas plus de 2 siècles à l'air libre.
Il faut se rendre à l'évidence : ces vestiges, bien que très différents des cabanes en encorbellement construites à la même époque, sont l'oeuvre d'agriculteurs du 18ème ou 19ème siècle. L'essor de la vigne en Périgord Noir avait commencé au Moyen-Age, mais prit une autre dimension au 18ème siècle. La construction de cabanes allait de pair avec l'épierrement des parcelles de vigne, et le savoir-faire des bâtisseurs n'a fait que progresser : les cabanes les plus récentes sont les plus élaborées.
Que le site des Grilloux soit récent ne remet pas en cause le courage et la hardiesse de ses bâtisseurs ! Mais une question demeure : pourquoi n'ont-ils pas copié leurs voisins ? Ont-ils pensé que l'emploi de gros blocs permettait une construction plus durable ? Se sont-ils lancé un défi ? ou ont-ils profité tout simplement de ces gros blocs qui étaient sur place et les gênaient ?
C'est étonnant de constater que la mémoire collective n'a pas gardé trace de leur souvenir !
Petite précision : appeler "bories" les cabanes en pierre sèche n'est pas une habitude périgourdine ; c'est une "importation" des années 1970.
D'après Christian Lassure, historien qui s'est spécialisé sur ce type de construction, il faudrait dire "construction à pierre sèche".
Et que tous ceux qui ont parlé de "cabanes gauloises" abandonnent définitivement cette idée, mais soient fiers de leurs aïeux qui ont sué pour réaliser ces cabanes !
Rédacteur : Jean Tabanou
Mur de soutènement long d'environ 100 mètres.
A l'époque gauloise, Saint-Pompon...
A l'époque gauloise, Saint-Pompon faisait partie du territoire des Pétrocoriens. Quand les Romains ont envahi la Gaule, on suppose qu'une voie romaine allait de Cahors (Divona) à Périgueux (qui s'appelait alors Vesuna) en passant peut-être à Saint-Pompon (qui portait un autre nom).
La voie romaine, endommagée par les ravinements fréquents dans nos coteaux, et par les hommes qui l'ont utilisée comme carrière de pierre, suit un trajet difficile à préciser aujourd'hui.
Dans l'"histoire du périgord" de J.J. Escande, on peut lire :
"Avec les "cavées" gauloises, chemins creux ou courant au flanc des coteaux, très bien abritées du vent, de nombreuses voies romaines sillonnèrent le pays ; les principales partaient de la cité de Vésone (Périgueux) (...)."
"Au sud, une voie venant du Quercy, entrait en Périgord par Florimont, suivant la vallée du Céou, passait à Bouzic, Daglan, près de Saint-Pompon, Besse, Doissac, Belvès, Vielvic, Urval, Saint-Avit-Sénieur, Molière, Monsac, Saint Germain et Mons, Saint Laurent des Vignes, Lamonzie-Saint-Martin, Gardonne, Le Fleix où elle traversait la Dordogne, Fougueyrolles, Vélines, Montcaret et la Mothe-Montravel -- et deux de ses embranchements se dirigeaient l'un vers Cussac et Paunat (vers Vésone), l'autre par Saint Laurent des vignes, vers Sigoulès, Razac, Serres, Rouquette et Eymet."
Jean Maubourguet, dans "Le Périgord Méridional", écrit :
"On peut supposer que la voie Périgueux-Agen, après avoir traversé la Dordogne près de Pontours (où l'on a trouvé la trace d'un gué) passait à Bannes et à Beaumont pour aller rejoindre chez les Nitiobriges (peuple gaulois de la région d'Agen) celle qui descendait du Port du Noyer : on avait une route plus directe pour aller à Cahors ; le chemin ferré, ou chemin de la Reine Blanche, en était un fragment ; il passait par Belvès, Saint-Pompon, Campagnac et Marminiac, ou bien par Bouillac, Larzac, Doissat, Besse et Loubéjac."
Tout ce qui précède n'est que pure hypothèse, et j'ai moi aussi, dans la précédente édition, formulé une hypothèse faisant passer la voie romaine par Lestat et Les Grilloux.
Les anciens chemins que nous connaissons à Saint-Pompon n'ont malheureusement pas la structure d'une voie romaine, et même si c'était le cas, encore faudrait-il les distinguer de certaines routes de même structure réalisées au 17e siècle par exemple.
En l'absence de preuves archéologiques, il est impossible pour l'instant de préciser le tracé de cette voie. Il faut continuer les recherches sur le terrain et dans les archives.
Rédacteur : Jean TABANOU
Chronique des événements les plus importants de l'histoire de Saint-Pompon,
- Environ 25000 ans avant Jésus Christ, les plus anciens habitants connus de Saint-Pompon vivent dans les grottes de Castelviel. Seules des fouilles approfondies permettraient de dire s'ils avaient été précédés en ce lieu par des générations plus anciennes.
- Entre 1600 et 1400 ans avant Jésus Christ, à l'âge du bronze, une population vivant probablement dans des huttes de branchages, était établie aux Rougies, près de Lestat. Cette population vivait semble-t-il à son insu au-dessus de la grotte découverte en 1986, et un jour, un effondrement de la voûte a "aspiré" une partie de cet habitat vers l'intérieur de la grotte ; le cône d'éboulis a conservé jusqu'à nos jours les objets usuels de ces individus.
- 1er et 2e siècles après Jésus Christ : les tribus gauloises des Pétrocoriens et des Cadurciens se côtoyaient dans notre région. Les romains envahissent la Gaule et améliorent le réseau routier. Il existait peut-être une voie de communication allant de Cahors à Périgueux passant par Saint-Pompon, mais il reste à en trouver des preuves archéologiques.
- C'est un grand "blanc" historique entre la période gallo-romaine et le moyen-âge.
- 1269 : C'est la première fois que Saint-Pompon est mentionné sous ce nom, dans l'expression "Hospitalis de Sancto Pomponio" dans le testament d'un seigneur local. L'hypothèse la plus probable serait qu'un noble périgourdin, de retour d'une croisade en Terre Sainte, aurait décidé de nommer ainsi son village, ou d'y fonder une église placée sous le vocable de Saint-Pomponius, évêque de Naples au 6e siècle après Jésus Christ. Ce saint était très vénéré à Naples à l'époque où des croisés s'y embarquaient pour Jérusalem ou en revenaient.
- Avant 1295 est commencée l'église de Saint-Pompon.
- Avant 1315 est construite la chapelle Bedeau.
- A l'époque de la féodalité, le territoire de la commune actuelle est divisé en trois fiefs ayant chacun leur château : Saint-Pompon (14e s.), Le Mespoulet (12e siècle), et Castelviel (mentionné en 1454) ; les dates de construction ne sont pas connues avec certitude.
- Le Mespoulet appartient à la famille De La Roque ou De Gasques, puis à la fin du 13e s. (et jusqu'au 16e s.) aux Pons de Saint-Maurice. On le trouve sous le nom de "Reparium de Mespoleto" dans un testament de 1269.
- 14e siècle : le château de Saint-Pompon appartient à la famille De la Roque, puis aux De Cugnac au 15e s.
- De nombreux moulins fonctionnaient, surtout sur la Lousse.
- 1337-1453 : La "guerre de Cent Ans" divise la noblesse en "pro" ou "anti" anglais. Gilbert Pons de St Maurice, seigneur du Mespoulet, voit une bonne partie de ses biens confisqués par les Anglais qui occupaient l'Aquitaine. Il est obligé de prendre leur parti pour pouvoir récupérer ses biens.
- "Le Porche", élément de fortification, fait partie d'un ensemble protégeant l'église et le château. Sa construction a été sans preuve attribuée aux anglais ; il peut très bien avoir été construit par les seigneurs locaux, soumis ou non aux anglais (la zone d'occupation anglaise a varié pendant ces cent ans).
- Cette période est très dure pour la population, opprimée tantôt par les soldats français, tantôt par les anglais. Les gens fuient la campagne et se réfugient dans les villes.
- 1567 : Geoffroy I de Vivant, seigneur de Doissat, fait ses premières armes à 24 ans : il fait partie d'une troupe envoyée par le seigneur de Castelnaud pour déloger de Saint-Pompon Jean III de Cugnac. Là, il tue d'un coup d'épée le seigneur du Touron qui s'était moqué de lui.
- Entre 1562 et 1598, les guerres de religion voient Jean III de Cugnac défendre le parti catholique, alors que Geoffroy I de Vivant est un ardent défenseur du parti protestant.
- Mars 1590 : le château de Saint-Pompon est en partie démoli par De Vivant sur ordre d'Henri IV, mais l'église fortifiée et gardée.
- Avril 1590 : Marc de Cugnac (frère de Jean III) reprend Saint-Pompon. De Vivant attaque l'église à coups de canon ; quand les assiègés se rendent, 35 d'entre eux sont égorgés sur place, les autres "sont mis à rançon".
- 17e siècle : c'est la famille De Saint Ours qui possède Le Mespoulet.
- 1706 : révolte paysanne contre une nouvelle taxe instituée par Louis XIV sur les actes de baptême, mariage ou décès.
- 1749 : La famille La Verrie de Vivant vend Castelviel aux De Cugnac de Giverzac.
- 1790 : Peu après la Révolution, le curé de Saint-Pompon (M. Lasmolles) se cache et exerce clandestinement son ministère. Les De Cugnac émigrent. Leurs biens sont vendus comme biens nationaux. Raymond de Coustin de Caumont de Bourzolles, seigneur du Mespoulet se cache ; il est arrêté, échappe de peu à la guillotine, puis réintègre ses terres vers 1800 (mais habite Prats).
- A partir de cette date, Le Mespoulet est occupé par la famille De Saint Viance.
- En 1816, il y a encore des loups à Saint-Pompon.
- A partir de 1817, le préfet commence à développer l'enseignement primaire laïque et un instituteur est nommé à Saint-Pompon.
- En 1819, des bandes de voleurs rendent les routes peu sûres, surtout la nuit.
- 1829-1830 : terrible hiver ; on peut traverser le Mandalou ou la Lousse sur la glace.
- 1851 à 1905 : des religieuses dispensent un enseignement dans une aile du château.
- 1856 : la population atteint son maximum avec 1403 habitants (352 en 2019).
- A partir de 1901, l'existence d'une congrégation religieuse est soumise à l'autorisation du conseil municipal, puis du gouvernement et du Conseil d'Etat. En juillet 1905, la loi de séparation de l'Eglise et de l'Etat fait disparaître bon nombre d'écoles religieuses.
- Depuis des siècles, des vignes couvraient la plupart des coteaux de la commune. Les parcelles étaient épierrées ; les pierres étaient utilisées pour matérialiser par des murs les limites des propriétés et construire des cabanes "à pierre sèche", généralement en encorbellement, ou exceptionnellement en blocs bruts, comme aux Grilloux.
- 1875-1880 : Le phylloxéra détruit la quasi-totalité du vignoble. Les agriculteurs se tournent en suite vers la culture du tabac, en complément de l'élevage ovin, important jusqu'au 19e siècle, de l'élevage bovin ensuite.
- De 1912 à 1935, un petit train à vapeur reliant Sarlat à Villefranche-du- Périgord passe par Saint-Pompon et transporte marchandises et voyageurs.
- A peu près de 1900 à 1914, une carrière de calcaire très pur (près du carrefour entre la D.60 et la D.51) est exploitée pour préparer des pierres lithographiques utilisées dans l'imprimerie.
- 11 octobre 1915 : Vent violent et trombes d'eau ; le Mandalou connait une crue exceptionnelle qui dévaste des maisons, la place, la voie du "tramway" et noie deux enfants.
- 1914-1918 : la première guerre mondiale tue 49 jeunes de la commune (qui compte alors 930 habitants). Incidence importante sur la dépopulation des campagnes.
- Novembre 1925 : inauguration du monument aux morts par Yvon Delbos, à la fois député de Sarlat et ministre de l'Instruction Publique. Il apprend ce jour là que son gouvernement est renversé.
- Guerre 1939-1945 : presque tous les Saint-Pomponnais mobilisés en 1940 sont faits prisonniers.
- les Allemands ne traversent Saint-Pompon que deux fois, sans faire de victime ni de dégât matériel.
- Une bonne partie des jeunes de la commune s'enrôle dans la résistance en 1944.
- Entre 1900 (environ) et 1952, deux carrières d'ocre sont exploitées, l'une à Foulandès et l'autre à Naudet.
- L'école construite vers 1910 doit être rasée en 1958 et remplacée par l'école actuelle qui regroupe maintenant les enfants des communes de Saint-Laurent-La-vallée, Campagnac-les-Quercy, Doissat, Grives et Saint-Pompon.
- Deuxième moitié du 20e siècle : Les congés payés (institués en 1936) et les loisirs se développent. Avec l'accroissement du tourisme apparaissent des gîtes ruraux, chambres d'hôtes, restaurants, ferme-auberge et camping.
- La forêt a toujours été exploitée, pour des produits différents suivant les époques : charbon de bois, douelles de barrique, parquet, pâte à papier, piquets, poteaux de mine, etc ... Elle apporte un revenu non négligeable à ses propriétaires.
- Malgré cette richesse forestière, 2 scieries sur 3 ont fermé.
- 1970 (environ) : le dernier moulin de Saint-Pompon, celui de Cheylat, arrête ses meules. Le meunier allait livrer la farine avec son cheval et sa charrette.
- Une entreprise de collecte de céréales et vente de produits agricoles (aliments du bétail, engrais, ...) s'est bien développée.
- 1974-1976 : restauration de l'intérieur de l'église par le Club du Vieux Manoir.
- 2008 : pavage des rues du vieux village, autour de l'église, avec éclairage mettant en valeur le patrimoine architectural.
- Avec le temps des loisirs, les associations se multiplient : vélo-club, moto-club, union des chasseurs, cercle des anciens, association Sport et Loisirs, Les Amis de l'école, Association Générale des Intervenants Retraités, Association Le Mandalou, ...
- Depuis mai 2008, un marché hebdomadaire donne une nouvelle activité au village.
- A vous d'écrire les pages d'histoire suivantes !
Rédacteur : Jean TABANOU
Et pour plus de détails, vous pouvez lire l'"Histoire de Saint-Pompon"